domingo, 18 de julho de 2010

Quand il devient une étoile (Quando ele se torna uma estrela)

Oui, C'est moi. J'en vois aussi. La maison. Petite, mais bonne et belle. Je vois le froid qui n'est pas visible aux autres. Je vois le vent, même s'il veut se câcher. Oui, c'est froid maintenant, Je m'habille bien, pour ne pas être malade après bavarder avec le vent que je vois, je ne vois que lui! Oui il est beau, il danse entre les arbres, il rentre chez moi et il sort. Je vois plus, C'est le feu de ma cheminée, Le vent, qui maintenant devient petit fait le feu bouger. Je vois quelques amis autour de moi, Vins! Vins! Les plus bons, on les bois tous. On rie, on pleure, on parle du passé, du present et du futur. on prend un verre plus. On mange et on chante. Je vois la petit maison, elle s'en va et moi je volle, je sais la signification de ça, Je meurs! Oh mon Dieu, je meurs, je ne veux pas ça, Je veux des fils, des amis, de famille, des chiens et des chats, j'en veux, c'est pas le ciel qui me plaît même ainsi, C'est pas ça, Laisse-moi y rester. Là-bas, à la petite maison, tout près de la cheminée, avec des amis en buvant les vins, Avec eux, en rient, en pleurant, en bavardant. Dieu, Est-que tu m'écoute? Est-ce que tout est vrai? Oui, c'est vrai, sinon je ne vollerai pas, oui c'est ciel. J'ai été bon quand en terre. L'infer exist mon Dieu? SVP répond-moi. Je veux seul une autre chance, je veux mes amis, je les aime, je veux ma famille, je la respect, je veux ma maison elle est confortable. Quoi? Parle je t'écoute. Non, non, je ne vais jamais oublier la vie que j'ai eu. Mais, quoi? La maison avec les amis, ils étaient un tas d'amis... ou non? Combien étaient-ils même? Trois je pense, ou deux? La maison était petite, mais oú? Ne faîtes pas ça, Tout, mais pas oublier, j'en veux pas oublier. C'est froid, le feu s'est fini, Je vois la terre loin, non, c'est pas le terre. Je suis une étoile maintenat, qui ai-je été? Rien, je ne rappele qu'une petite maison, le froid et une cheminée. Maintenant, je ne sais pas....

Desculpem mas tive que escrever esse monólogo em francês, visto que estava ouvindo "j'y suis jamais allé" do filme Amélie Poulain (rsrs)

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